On a mis un certain temps avant de se décider, j’en conviens, mais sache que l’on jouera un match fratricide le vendredi 8 avril. Je te vois venir, petit coquin à la dent affutée : tu avais prévu de partir en vacances ! Mais sache que l’improvisation est un excellent moyen de se détendre avant de rentrer voir tes parents ou encore d’aller s’isoler avec ton petit-copain ou ta petite-copine dans un chalet en montagne. Et sache aussi que c’est vraiment idiot de s’affuter les dents : ça fait super mal et le look vampire, ça marche que sur les gamines de 14 ans. Alors viens nous voir le 8 avril et n’oublie pas de te brosser les dents. Et si tu n’avais pas prévu de partir en vacances, viens quand même. Parce que nous, on t’aime. (Peut-être.)
Et plus sérieusement, c’est parti pour être notre seul évènement du mois d’avril, alors saute sur l’occasion, même si Pierre a l’air méchant.
Et puis il y a même un évènement Facebook : ajoute-le sur ton calendrier pour que tous tes amis voient que t’as une vie où tu fais des trucs cool. Qu’est-ce qu’ils vont être jaloux, tous tes amis…
Pour info, par « match fratricide », on entend qu’on joue contre nous. On appelle aussi ça « intern’impro », des fois. Concrètement, les deux équipes sont faites de joueurs de chez nous, dont certains nouveaux que tu n’as encore jamais vus. Donc ça sera comme un match normal, sauf que si t’es super fan de nous, au moins t’es sûr de nous voir gagner. Et si tu nous hais, de la même façon, t’es sûr de nous voir perdre. Tout le monde y gagne ! Wouhou !
Sinon, que te dire ? Déjà, que le triptyque s’est très bien passé : on a eu droit à un film de science-fiction, un film d’horreur geek et un film probablement policier. On a eu que des retours positifs, la seule nuance étant : « mais vous allez continuer à faire des matchs, quand même ? » Mais bien sûr qu’on continue à faire des matchs, ne t’en fais pas. Les N’Improtequoi sont une sacré bande de mecs sympa : ils s’ront toujours là pour un triptyque ou pour jouer un match. Non, je ne veux pas activer les touches rémanentes, je cherche un début de phrase ! Enfin bref. Euhm… ça va, toi, sinon ?
La vidéo, Je ne vais pas m’en remettre. Pourquoi? Pooooouuuuurrrrqqqquuuuuooooiiiiiiii?